La prochaine tonte arrive à grand pas : d’ici la fin janvier, chacune de nos têtes frisées aura travaillé les 20 minutes demandées par semestres, et se sera défait de son manteau d’hiver. Or, bien que le bâtiment soit tempéré et que la température descende rarement en dessous des 10°C, se déshabiller d’un seul coup, ce n’est pas l’idéal si on veut éviter de tomber malade.
Pour limiter l’inconfort de nos pensionnaires, on leur enfile un pull. Non, pas du mohair, mais un bout de tissu le plus vieux et le plus déniappé possible, dans lequel on fait deux trous pour passer les pattes avant. Pull, serviette éponge, ou même pantalon de chantier : tout est bon du moment que c’est destiné à la poubelle.
Usage unique : au bout d’une dizaine de jours, la couverture n’est plus nécessaire mais elle est déchirée, souillée, et termine là où il était prévu qu’elle aille.
Si vous avez chez vous ce genre de tissus, jusqu’à mi-janvier, on prend !!
