
Au fil des jours, la litière s’accumule sous les chèvres et il faut régulièrement curer les boxes. L’opération se fait à la fourche et à la brouette, sur une journée, sans pause et sans enfants dans les parages. Bien que la litière soit plutôt sèche, il y a quand même quelques odeurs de fumier. Le lendemain, les poignets, les épaules nous rappellent qu’ils n’ont pas l’habitude d’être sollicités de manière aussi intense.
Ça fait partie du prix de la pelote !